Tout savoir sur le Chi / QI (souffle interne en chinois)

Qu’est-ce que le Chi, parfois transcrit “Qi”, cette notion asiatique dont on entend de plus en plus parler en Occident ? Il n’est pas aisé de donner au Chi une définition claire et restreinte, en tant que la notion de Chi touche à divers domaines d’application est n’est pas traduisible sans que l’on soit forcés d’écorcher le sens plein et original du mot. En effet, le mot “Chi” n’a pas d’équivalent précis en français. On entend parler du Chi comme d’une énergie vitale, mais là encore, le terme d’énergie n’est qu’une tentative de traduction de la part des Occidentaux. A s’en tenir aux textes chinois, il serait plus correct de parler d’essence ou de souffle. A savoir : le Chi est un mot et une notion chinoise, mais également approprié par les japonais qui ont un concept équivalent, le Ki.

Origine et principes du Chi

Le concept du Chi trouve ses origines dans la philosophie chinoise ancienne, en particulier dans le taoïsme. Selon la tradition taoïste, le Chi est présent dans tout l’univers et se manifeste sous différentes formes. Il est souvent décrit comme étant à la fois immuable et en constante transformation. Le Chi est régi par certains principes, tels que l’équilibre entre le Yin et le Yang, les forces complémentaires et interdépendantes de l’univers.

Alors, le Chi, qu’est-ce que c’est ?

Il s’agit d’une notion hypothétique provenant des cultures chinoises et japonaises, qui désigne un fluide non perceptible qui crée, forme et anime l’univers et toute forme de vie. Le Chi évolue sur trois plans : la structure de l’univers, les êtres vivants et la spiritualité (dans le sens de l’élévation de l’esprit). Il y a donc une approche spirituelle du Chi, développée par la philosophie taoïste, définissant le Chi comme un souffle circulant dans l’univers, étant à la fois la source de la vie et ce qui permet de la perpétrer.

Le Chi circulerait également à l’intérieur du corps, dans des canaux invisibles que l’on appelle les méridiens. Ce que l’on en connaît en Occident, c’est essentiellement ses applications au domaine de l’acupuncture, mais la médecine traditionnelle chinoise en fait de nombreux usages. 

Le fait de prendre conscience de la circulation du Chi dans la nature et dans son propre corps permettrait de réussir à l’exploiter, et de décupler la puissance du corps d’un combattant dans les arts martiaux.

Si votre curiosité est piquée, voici tout ce qu’il vous faut savoir sur le Chi.

Le Chi dans la cosmogonie chinoise

Comme nous l’avons préalablement expliqué en quelques mots, l’un des plans sur lesquels évolue le Chi est la structure de l’univers. Il s’agit d’un principe fondamental unique, décrit comme tel dans la cosmogonie chinoise, c’est-à-dire la théorie traditionnelle qui explique la formation de l’univers. Selon cette théorie, donc, c’est du souffle créateur que l’univers tire sa structure et c’est par lui que les êtres sont animés.

Comment se représenter le Chi ?

Il faut se représenter le Chi comme un fluide qui circule librement, régulièrement et indifféremment entre toutes les choses et les êtres de l’univers, animés ou non, comme une force tranquille omniprésente, qui crée, qui conserve et qui fait évoluer. Il agit donc sur l’univers comme un liant : tout ce qui le compose est en permanence relié : minéraux, végétaux, corps, l’inerte, le mobile, le vivant ou non…

Là où les religions monothéistes considèrent qu’un Dieu pré-existait à l’univers et en est force de création, dans la cosmogonie chinoise, c’est le Chi qui occupe cette fonction. Attention, toutefois, jamais le Chi n’est pensé comme une divinité ! 

Le Ying et le Yang sont à l’origine

La notion de Chi comme principe fondamental de la cosmogonie chinoise est intimement lié à la notion de Ying et Yang, reprise à tort et à travers par les Occidentaux qui connaissent si bien ce symbole où s’allient noir et blanc. En réalité, dans la tradition chinoise, au début de l’univers, le Chi existait dans une forme indifférenciée, la première et la seule, le wuji. Ce wuji se polarise ensuite en un pôle Ying et un pôle Yang, pour fonder le Tàiji, la “poutre faîtière suprême” du cosmos, l’élément clé de la structure de l’univers. De ce Tàiji découlent toutes les combinaisons du Ying et du Yang à l’origine de toutes les choses et de tous les êtres constituant l’univers. Le Ying et le Yang sont donc deux éléments antagonistes qui se complètent et s’interpénètrent, et c’est à travers cette matière en constante évolution que s’exprime le Chi.

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Le Chi est interprété par cinq mouvements fondamentaux, qu’on pourrait désigner comme cinq éléments : l’eau, le feu, la terre, le bois et le métal. Le souffle du Chi, cyclique, régulier, cohérent, est représenté dans la matière par ces éléments. 

Les roches rondes représentent Ying et Jang dans un jardin de pierres zen.
Le QI s’exprime par un fluide énergétique qui circule librement.

Le Souffle Interne Chinois

Le Souffle Interne Chinois, également appelé Nei Gong, est une pratique spécifique basée sur la cultivation du Chi à travers la respiration et le mouvement. Il s’agit d’une forme avancée de pratique du Chi qui vise à développer une force interne puissante. Le Souffle Interne Chinois combine des techniques de respiration spécifiques, des mouvements lents et contrôlés, ainsi que des visualisations pour favoriser la circulation et l’accumulation du Chi.

Qu’est-ce que le Souffle Interne Chinois ?

Le Souffle Interne Chinois est une pratique qui vise à renforcer et à équilibrer le Chi à l’intérieur du corps. Il met l’accent sur la cultivation d’un souffle profond et conscient, qui est utilisé pour alimenter les mouvements et les techniques. Le Souffle Interne Chinois se distingue par son approche holistique de la pratique du Chi, en intégrant le corps, l’esprit et la respiration.

Les principes du Souffle Interne Chinois

La pratique du Souffle Interne Chinois repose sur certains principes fondamentaux. Il faut apprendre à coordonner la respiration avec les mouvements pour maximiser l’efficacité de la pratique. La conscience du corps et de la posture est également essentielle, car elle permet d’aligner et de relâcher les tensions. Enfin, la visualisation est utilisée pour guider la circulation du Chi à travers les méridiens et les centres énergétiques du corps.

L’importance de la respiration dans le Souffle Interne Chinois

La respiration joue un rôle central dans la pratique du Souffle Interne Chinois. Une respiration profonde et régulière permet d’oxygéner le corps, de favoriser la détente et de stimuler la circulation du Chi. Des techniques de respiration spécifiques, telles que la respiration abdominale et la respiration en trois temps, sont utilisées pour cultiver un souffle puissant et harmonieux.

La circulation de l’énergie dans le Souffle Interne Chinois

La pratique du Souffle Interne Chinois vise à cultiver, à accumuler et à faire circuler l’énergie à l’intérieur du corps. Le Chi est dirigé le long des méridiens, des canaux énergétiques qui parcourent tout le corps. La visualisation et la conscience du mouvement de l’énergie sont utilisées pour favoriser une circulation fluide et équilibrée du Chi. Cela permet de renforcer le corps, d’améliorer la santé et de développer la force interne.

Le Chi dans la philosophie taoïste : le Qi gong.

Le Chi a une place importante dans la philosophie et la spiritualité taoïste. Il participerait à l’élévation de l’esprit d’un être. En pratiquant la méditation à la manière des taoïstes, prendre conscience du Chi et réussir à l’exploiter permettrait au pratiquant d’atteindre plus efficacement l’état d’élévation mentale censé rejoindre le fonctionnement originel du cosmos. On parle alors de retour au wuji (souvenez-vous, cette matière originelle qui se compose du Chi). Cette pratique, cette méditation, s’appelle le qi gong, et se base sur des exercices de respiration, des visualisations mentales, des mouvements, des postures… Tous ces exercices ont pour bénéfice de stimuler le Chi qui, nous y reviendrons, circule dans le corps selon une topographie précise.

Lors de la pratique du qi gong, le souffle du Chi passe par trois points, qu’on appelle des centres de raffinage, et que l’on situe à des endroits précis sur le corps humain, les dantian :

Le dantian inférieur

Il y a d’abord le dantian inférieur, situé sous le nombril. C’est l’endroit d’où provient le Chi en tant que substance vitale, et où il doit être entretenu par le méditant. C’est en quelque sorte l’usine à Chi du corps humain.

Le dantian intermédiaire

Le second point, le dantian intermédiaire,  se situe au niveau du sternum, tout près du coeur. C’est l’endroit où le Chi se transforme en Shén, une forme du souffle plus subtil et propre à la pensée. C’est là qu’a lieu la première étape de raffinement du Chi.

Le dantian supérieur

Enfin, le troisième point, le dantian supérieur, se situe dans la tête, là où le Shén se transforme en un souffle propre à la spiritualité, ce fameux état d’unité avec le cosmos recherché par le méditant taoïste, qui serait à même de l’amener à un état d’équilibre et à agir en conformité avec les lois de l’univers. Dans le dantian supérieur, le Chi atteint sa forme la plus raffinée. 

Deux femmes pratiquent le Qi Gong
Deux femmes pratiquant le Qi Gong

La circulation du Chi

Si l’on en croit ce que l’on vient d’expliquer à propos de la pratique du Qi gong, on comprend que le Chi est perçu comme un flux qui circule dans le corps humain, même si encore aujourd’hui la science n’a jamais validé l’existence d’un tel fluide, qui n’a été défini que par empirisme, et nous y reviendrons à propos de la médecine chinoise. Pour le moment intéressons-nous à la circulation du Chi comme simple théorie empirique.

Le Chi circule dans le corps par des canaux invisibles, comme des veines métaphysiques, qu’on appelle les méridiens. Ces méridiens forment dans le corps un réseau de circulation du Chi. Certains de ces méridiens sont principaux et d’autres sont secondaires. En plus des méridiens, on parle aussi de points de concentration du Chi dans les zones où les méridiens se croisent, par exemple, ou bien parfois hors du réseau des méridiens.

A travers les siècles de pratique et de théorie, la topographie des méridiens et des points dans le corps n’a pas du tout bougé.  Le schéma qui est toujours d’actualité a été dessiné par le médecin Li Shizhen, au XVIème siècle, et c’est encore selon ce schéma que l’on pratique l’acupuncture. Li Shizhen a établi 12 méridiens dits “ordinaires” et 8 méridiens dits “extraordinaires” ou “curieux”. Ils relient en tout 361 points d’acupuncture.

En dehors de ces méridiens internes classiques en ancestraux, il existe d’autres méridiens qui relient la peau, les muscles et les organes, mais le schéma de ces derniers, contrairement aux méridiens classiques, varient au fil des époques et selon les différentes écoles de médecine. Cela nécessite de plus ample recherche pour qui s’intéresse à la topographie des méridiens.

Le Chi et la médecine chinoise traditionnelle 

Puisque le Chi circule librement dans le corps humain et peut être stimulé de manière à être exploité, il est évident qu’il trouve ses applications en médecine. La médecine chinoise traditionnelle se base dans beaucoup de domaines sur la circulation du Chi, les méridiens et les points de concentration du Chi. Mais pour comprendre comment un concept qui peut sembler si abstrait est exploitable en médecine, il faut d’abord comprendre l’empirisme sur lequel est basé la théorie, c’est-à-dire par quels effets, par quelles expériences l’existence d’un tel fluide a été démontrée par la médecine chinoise.

En médecine traditionnelle chinoise, on considère qu’il est lié à l’activité cérébrale et à la pensée. Le Chi, en circulant dans le corps, serait en fait perceptible sous forme de diverses sensations très ténues : de la chaleur, des picotements… En se concentrant, en méditant, en pratiquant une sorte d’introspection de son propre corps, on serait capable de ressentir ces effets, et ainsi de prendre conscience du Chi. C’est de cette façon qu’ont été établies les cartes du réseau de circulation !

Lorsque l’on prend conscience de ce réseau et que l’on stimule la circulation ou les zones de concentration du Chi apparaissent d’autres effets plus importants que l’on mesure et que l’on interprète.

Il existe 2 sortes de Chi

En médecine chinoise, on distingue deux sortes de Chi, ou du moins deux façon d’interpréter et de traiter le Chi : le souffle intègre, ou zhèngqi, est le souffle positif du Chi, celui qui est garant de bien-être et qui doit être stimulé pour renforcer le corps. Le souffle vicié, le xiéqi, est au contraire le souffle à l’origine des contraintes est difficultés. L’objectif de la médecine chinoise est bien sûr de rétablir un équilibre sain dans le corps humain, en stimulant le souffle intègre et en annihilant le souffle vicié.

Contrairement à ce que l’on entend bien souvent, la médecine chinoise n’est pas une simple tradition ancestrale basée sur des croyances spirituelles ou des légendes. En fait, des recherches cliniques au sujet du Chi sont menées en Chine, en particulier à l’institut de médecine traditionnelle de Chongqing et à l’Institut de physique et des hautes énergies de Pékin. La médecine traditionnelle chinoise, vous l’aurez compris, se base en grande partie sur la théorie du Chi. Au même titre que le sang, qui est un fluide matériel et visible, le Chi est considéré comme un liquide organique. 

Le Chi dans la technique d’aujourd’hui

En pratique, la notion de Chi est à l’origine de techniques comme l’acupuncture, qui consiste à faire pression avec des aiguilles sur des zones de concentration de Chi pour le stimuler, mais aussi de massages spécifiques basés sur la circulation du Chi dans les méridiens. Sont également basées sur lui des théories de diététique, l’alimentation ayant supposément une influence directe sur la circulation du Chi. 

Au Japon, on retrouve aussi le shiatsu, une technique de massages et d’exercices physiques, dont des exercices respiratoires, qui ressemble un peu au Qi gong, et dont le but est de stimuler le Ki.

Belle jeune femme sportive profitant d'un massage du dos shiatsu, allongée sur le sol, portant des vêtements noirs
Une femme profitant des bienfaits du shiatsu

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Le Chi dans les arts martiaux

Puisqu’il est bénéfique pour le corps humain et qu’il a la propriété de le renforcer, il trouve également son domaine d’application dans les arts du combat asiatiques, les arts martiaux. 

Concernant les arts martiaux chinois, ils utilisent tous la notion de Chi, mais quand certains utiliseront plutôt la maîtrise de la circulation et la manipulation du souffle, d’autres insisteront plus sur le renforcement musculaire. Le taiji quan, par exemple, vise à détourner le chi du combattant pour la renvoyer vers son adversaire. Il se base sur une technique de respiration visant à stimuler le dantian inférieur. La respiration à adopter est basée sur une imitation de la respiration des nourrissons, qui respirent avec le ventre : de cette manière le souffle est plus profond et permet de faire des efforts plus efficaces, plus longtemps.  Le kung-fu shaolin s’appuie quant à lui sur un ciblage de points précis sur le corps de l’adversaire afin de l’affaiblir et de rendre les attaques plus efficaces.

Le Chi dans les arts martiaux japonais

La croyance des japonais dans le Ki est légèrement différent des chinois et de leur Chi. Dans les arts martiaux japonais, on considère que lorsqu’un combattant porte un coup à son adversaire, il lui transmet son Ki et que c’est cela qui est à l’origine des blessures causées. Le but est donc de frapper des points vitaux, les points où se rencontrent les méridiens. Le Ki doit être extériorisé par le combattant. C’est la raison pour laquelle les coups s’accompagnent parfois d’un cri, notamment au karaté.

On sait maintenant qu’il est censé relier entre eux les êtres et les choses de l’univers. Et bien, pour les japonais, ceci signifie également que deux combattants adversaires sont reliés par le Ki. C’est sur cette prémisse qu’est basé l’aikido, qui vise à unir les énergies des combattants qui deviennent partenaires : il n’y a plus d’agression, c’est un travail d’équipe.

On retrouve également le concept de Ki dans les arts ninjas, le ninjutsu. Le principe est d’utiliser le Ki commun à tous pour pressentir l’intention de l’ennemi : c’est ce que les japonais appellent la vigilance, le zanshin

Dessin à la main traditionnel Japonais représentant un combat d'aikido
L’aikido utilise le chi de l’adversaire contre lui

Pratiquer le Chi et le Souffle Interne Chinois

Il existe différentes façons de pratiquer le Chi et le Souffle Interne Chinois, adaptées aux besoins et aux préférences individuelles. Voici quelques techniques couramment utilisées :

Les différentes techniques de pratique du Chi

Les exercices de respiration sont essentiels dans la pratique du Souffle Interne Chinois. Voici quelques exercices courants :

  • Respiration abdominale : en se concentrant sur l’expansion et la contraction de l’abdomen pendant la respiration, on favorise une respiration plus profonde et une relaxation du corps.
  • Respiration en trois temps : une technique de respiration qui consiste à inspirer lentement par le nez, à retenir le souffle pendant quelques secondes, puis à expirer lentement par la bouche. Cela permet de réguler la circulation du Chi et d’apaiser l’esprit.

Intégrer le Chi et le Souffle Interne Chinois dans sa vie quotidienne

Pour bénéficier pleinement du Chi et du Souffle Interne Chinois, il est important de les intégrer dans sa vie quotidienne. Voici quelques conseils :

  • Pratiquer régulièrement : consacrez du temps chaque jour à la pratique du Chi et du Souffle Interne Chinois pour en tirer des bienfaits durables.
  • Être conscient de sa respiration : prenez conscience de votre respiration tout au long de la journée. Respirez profondément et lentement pour favoriser une circulation optimale du Chi.
  • Adopter une posture correcte : maintenez une posture droite et équilibrée pour permettre une circulation fluide du Chi dans le corps.
  • Être présent et attentif : soyez pleinement présent dans vos activités quotidiennes. Cultivez la pleine conscience et la présence dans l’instant présent.

Les bienfaits du Chi pour l’esprit

En plus des avantages physiques, le Chi a également un impact positif sur l’esprit. La pratique du Chi favorise la clarté mentale, la concentration et la créativité. Elle aide à calmer l’esprit agité, à réduire le stress mental et à cultiver la présence et la pleine conscience. Le Chi peut également être utilisé comme une pratique spirituelle, permettant de se connecter à un niveau plus profond de conscience et d’expérience de soi.

La notion de Chi est une notion très complexe, qui touche à de nombreux domaines de la culture et du quotidien des asiatiques. Si le concept est originellement chinois, il existe sous différentes appellations dans d’autres pays asiatiques, comme le Ki japonais, et est une part essentielle de ce qui rend si attractive cette partie du monde aux yeux des occidentaux, qui tentent plus que jamais de la comprendre et de se l’approprier.

Conclusion

Le Chi et le Souffle Interne Chinois offrent de nombreux avantages pour la santé physique, mentale et émotionnelle. Ces pratiques ancestrales chinoises favorisent l’équilibre énergétique, la relaxation et la conscience de soi. En intégrant le Chi et le Souffle Interne Chinois dans votre vie quotidienne, vous pouvez cultiver une meilleure santé, une clarté mentale accrue et une sensation de bien-être global.

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